Ecole de Friedolsheim

Mardi 19 février je suis partie au ballon d’Alsace pour faire du ski de fond

et de la luge avec mes demi-sœurs, ma sœur et mon père, les pistes

ouvraient à 9h30. On est arrivé vers 10h15. On a d’abord fait

du ski sur la piste verte, il était déjà 11h10 alors comme mes demi-sœurs

avaient faim, on est allé se changer et après on est allé manger…

ensuite on voulait faire de la luge, on est monté en haut des pistes on avait

une vue magnifique, on est descendu car il était déjà 16h30 et comme ma sœur et

moi on devait prendre le train on est parti après avoir vu les chiens de traineaux

c’était vraiment bien!

Pendant ces vacances d’hiver, on est parti au ski aux Saisies en Savoie.

Cette année, j’ai décidé de faire du Snowboard comme je sais déjà bien skier.

Au début, j’avais peur de tomber et de me faire mal.

J’ai eu un peu de difficultés à mettre mes chaussures et mes fixations de Snow.

C’était difficile de tenir en équilibre sans tomber, je ne tournais pas bien et je tombais souvent sur les fesses. Bref, je n’avais pas la technique.

Heureusement, dés le premier après-midi, j’ai commencé les cours avec un moniteur de l’ESF.

Après ses explications, je me suis rendu compte que le snow n’ai pas si difficile et qu’au contraire c’est vraiment génial!!! Je me suis donc ensuite éclaté toute la semaine.

Chouettes vacances sous un soleil magnifique!

 

Sacha

 

Le 11 février, nous avons remarqué qu’un animal vivait dans notre cave.

 

Nous avions d’abord pensé à  une martre, mais par la suite mon père a remarqué une sorte de nid sous notre bois. Alors il a prit un bâton de ski et a enlevé ce nid fait d’épluchures d’oranges, d’allumes feu, de journaux et d’autres petites choses venant des poubelles. De temps en temps, une petite souris venait avec le nid ! C’était donc des souris !

Il a pris les souriceaux et les a remis dans la nature.

Mais la souris mère maintenant seule nous a quand  même causé plusieurs dégâts :

 

– elle a mangé de nombreux allumes feu,

– elle a grignoté une partie de la porte (si elle passe de l’autre coté, elle peut manger les roues des vélos, manger les poubelles et déclencher l’alarme)

– elle a troué des habits

– elle a volé des journaux.

 

Il faut faire quelque chose si nous ne voulons pas être réveillés par l’alarme ou d’avoir un incendie si elle se prend aux câbles de nos congélateurs. Nous avons commandé 6 pièges à souris mais nous ne savons pas encore à l’heure actuelle si cela va fonctionner.

 

 

 

Nicolas Brengard

Je vais vous parler de mes chats Moustique et Noisette.

Moustique est un mâle de 16 ans tigré beige et gris. Il est arrivé dans la famille en 2003 à 2 mois. Ma mère l’a cherché à Baccara avec une amie. Quand je suis né, il avait 5 ans. j’aime être avec lui. C’est un vieux patapouf grincheux. Il est très calme et ne me griffe jamais. Il aime dormir sous le soleil. Il ne chasse plus mais quand il était jeune il aimait chasser: une fois, il a même ramené une petite poule de chez le voisin. 

Noisette est une femelle de 3 ans écaille de tortue. Elle a été adoptée par la famille fin avril 2017, elle avait 1 an et demi. C’était une chatte abandonnée et elle était enceinte, mais quand nous l’avons adopté, nous ne le savions pas… Elle a eut 6 bébés début du mois de mai. Noisette est très joueuse: elle joue avec mes balles de Nerf. Elle aime aussi jouer au foot avec moi, c’est une très bonne gardienne car elle saute sur les ballons. 

 

 

 

 

 

 

Pendant ce mois de novembre, je suis allé avec ma famille à Paris, capitale de la France.  Nous avons pris le TGV pour y aller. Comme on était au début de la période de Noël, la ville était illuminée de partout, et, de notre chambre d’hôtel on avait une vue splendide sur la Tour Eiffel. La nuit tombée, cette dernière scintillait de mille feux (voir ci-dessous).

 

 

 

Le lendemain matin, avant de reprendre le TGV, on a fait une promenade le long de la Seine (très grand fleuve, plus gros que le Rhin)  jusqu’à la tour de Monsieur  Eiffel.

 

J’espère que cet article vous à plu et je vous rassure, nous n’avons pas rencontré de « gilets jaunes ».

 

 

Nicolas BRENGARD